Accès rapides :

Vous êtes ici :

  1. Accueil
  2. Publications et outils
  3. Bases de données
  4. Tableaux des maladies professionnelles
  5. Fiche Tableau des maladies professionnelles (rubrique sélectionnée)

Tableaux des maladies professionnelles

Régime agricole tableau 20

Affections provoquées par les rayonnements ionisants

Revenir à la recherche
Tableau et commentaires

Eléments de bibliographie scientifique (décembre 2012)

Documents spécifiques en lien avec le tableau et disponibles à l'INRS

 

Radioprotection : secteur médical  Https://www.rst-sante-travail.fr/rst/outils-reperes/radioprotection.html

L’ensemble de cette collection est réalisé par un groupe de travail auquel participent l’ASN (Autorité de sûreté nucléaire), la DGT (Direction générale du travail), l’IRSN (Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire) et l’INRS (Institut national de recherche et de sécurité). Chaque fiche, rédigée par type d’activité, est destinée aux personnes impliquées dans la radioprotection des travailleurs et aux utilisateurs de ces techniques. Elle présente les différentes procédures de travail, les types de dangers spécifiques, l’analyse des risques et leur évaluation ainsi que les méthodes de prévention. Pour illustrer ces différents éléments, l’IRSN propose depuis 2011 un exemple d’étude de poste d’une installation type présentant une application de la démarche de mise en place du zonage et du classement des travailleurs. Une fiche spécifique, régulièrement mise à jour, rappelle la réglementation concernant la radioprotection dans le domaine médical. 

 

GAURON C. ; SERVENT J.P.  Les rayonnements ionisants. 2e édition. Le Point des connaissances sur... ED 5027.  INRS (30 rue Olivier Noyer, 75680 Paris Cedex 14), 2011, 5 p., ill., bibliogr.

L'exposition professionnelle aux rayonnements ionisants survient lors de l'utilisation de sources radioactives scellées ou non scellées, lors de l'emploi de matières contenant des éléments radioactifs utilisées pour d'autres propriétés que leur radioactivité, en présence de radioactivité naturelle sur les lieux de travail, à la suite d'un accident ou incident au cours d'un processus industriel. Protéger l'homme, compte tenu des risques encourus, passe d'abord par l'évaluation des risques, en prenant en compte le processus industriel et les conditions d'exposition des personnes, puis par l'application de mesures de prévention qui visent à maîtriser tant les risques de contamination par les matières radioactives que les risques d'exposition aux rayonnements ionisants. Points traités dans cette fiche : définitions, expositions professionnelles (exposition externe sans contact cutané, contamination externe avec dépôt sur la peau de substance radioactive, exposition interne) ; risques pour l'homme (les effets déterminants, les effets aléatoires (ou stochastiques)) ; mesures pour protéger les hommes (évaluation des risques, mesures de prévention (mesures techniques, mesures organisationnelles fondées sur la réglementation) ; vérification des mesures de prévention initiales ; évaluation a posteriori) ; réglementation en vigueur.

 

SERVENT J.P. ; GAURON C. ; BOULAY M.H.  Les rayonnements ionisants. Prévention et maîtrise du risque.  Edition INRS ED 958.  INRS (30 rue Olivier Noyer, 75680 Paris Cedex 14), 2006, 56 p., ill., bibliogr.

Ce document est le complément technique de la brochure INRS ED 932 "Les rayonnements ionisants. Paysage institutionnel et réglementation applicable". Il présente une méthodologie applicable à toute situation de travail susceptible d'entraîner une exposition aux rayonnements ionisants. Les rayonnements pouvant entraîner une exposition dans une situation de travail donnée doivent être identifiés avec pour objectif de mettre en oeuvre les mesures de prévention qui permettent d'obtenir la maîtrise des expositions. En particulier, il souligne que la maîtrise des expositions nécessite la participation active de l'entreprise et de chacun des acteurs de terrain de la prévention.

 

QUESTEL F.  Hémopathies malignes d'origine professionnelle.  Encyclopédie médico-chirurgicale. Pathologie professionnelle et de l'environnement 16-530-A-10.  Elsevier Masson (62 rue Camille Desmoulins, 92130 Issy-les-Moulineaux), 2011, 12 p., ill., bibliogr.

Les hémopathies malignes sont des pathologies rares dont l'origine professionnelle est probablement sous-estimée. Le benzène et les radiations ionisantes sont les seuls toxiques professionnels dont le potentiel leucémogène est reconnu. Ainsi, les leucémies survenant dans le cadre d'une exposition professionnelle à ces toxiques sont inscrites aux tableaux des maladies professionnelles et sont, à ce titre, indemnisables. Des incertitudes demeurent en ce qui concerne d'autres toxiques (oxyde d'éthylène, pesticides, champs électromagnétiques, agents infectieux) pour lesquels des études épidémiologiques complémentaires doivent se poursuivre. La conservation prolongée des dossiers médicaux des salariés exposés et le recours au comité régional de reconnaissance en maladie professionnelle sont nécessaires à l'amélioration des connaissances et à l'évolution de la réglementation. En matière de prévention, la surveillance médicale, la protection des salariés et le recours dès que possible à des produits de substitution moins toxiques sont évidemment indispensables.

 

MAYNADIE M.  Expositions professionnelles responsables d'hémopathie maligne.  Encyclopédie médico-chirurgicale. Hématologie 13-030-A-10.  Elsevier Masson (62 rue Camille Desmoulins, 92130 Issy-les-Moulineaux), 2011, 10 p., ill., bibliogr.

Les hémopathies malignes sont des affections pour lesquelles une origine professionnelle est souvent évoquée. De très nombreuses études épidémiologiques ont été effectuées dans ce cadre pour mettre en évidence une augmentation du risque en liaison avec une ou plusieurs expositions mais peu de facteurs peuvent être incriminés avec certitude aujourd'hui. Ainsi, les radiations ionisantes externes sont responsables de leucémies aiguës myéloïdes et probablement à l'origine de myélomes multiples, alors que rien n'a été formellement prouvé pour les radiations issues du radon et les radiations non ionisantes. Le benzène est aussi responsable de leucémies aiguës myéloïdes et les données sont de plus en plus convaincantes quant à la responsabilité du 1,3 butadiène dans l'apparition de ces proliférations. En revanche, rien n'est prouvé pour les autres solvants aromatiques ou chlorés. Les pesticides sont incriminés dans des proliférations lymphoïdes : lymphome non hodgkinien ou myélome multiple, voire leucémie lymphoïde chronique ou leucémie à tricholeucocytes. Les risques rapportés sont cependant modérés, mais la difficulté de la mesure de l'exposition est probablement à l'origine d'une sous-estimation. Le formaldéhyde, les polychlorophénylés et les dioxines sont probablement à l'origine de lymphomes non hodgkiniens, mais des incertitudes persistent sur les conditions de leur responsabilité. Des travaux doivent être encore réalisés en améliorant les mesures des taux de l'exposition pour chaque molécule suspectée et en affinant les diagnostics recueillis, afin d'identifier des liens spécifiques entre une molécule et une entité particulière.

 

Protection des travailleurs contre les rayonnements. Bureau international du travail (BIT, 4 rue des Morillons, CH-1211 Genève 22, Suisse), 2011, 17 p., ill., bibliogr.

Le but de cette note est de fournir des informations sur l'importance de la population active concernée par l'exposition aux rayonnements, les activités professionnelles associées à une telle exposition et les instruments pertinents de l'OIT (Organisation internationale du travail) concernant la protection des travailleurs. Après quelques considérations générales sur les rayonnements et le monde du travail, la production d’énergie verte et l’expansion de l’énergie nucléaire, elle traite de l’exposition des travailleurs à des rayonnements dans le cadre du travail, et de la réglementation internationale sur la protection des travailleurs contre les rayonnements. En annexe : extrait des Normes fondamentales internationales de protection contre les rayonnements ionisants et de sûreté des sources de rayonnements (1996, établies sous les auspices de la FAO, l’AIEA, l’OIT, l’AEN/OCDE, l’OPS et l’OMS) ; instruments de l’OIT et publications du BIT (Bureau international du travail) sur la protection des travailleurs contre les rayonnements.

 

TESTUD F. ; ABADIA-BENOIST G. Risques professionnels chez la femme enceinte. Encyclopédie médico-chirurgicale. Pathologie professionnelle et de l'environnement 16-660-A-10.  Elsevier Masson (62 rue Camille Desmoulins, 92130 Issy-les-Moulineaux), 2010, 11 p., ill, bibliogr.

Plus de 80 % des françaises en âge de procréer exercent une activité professionnelle : le retentissement de l'exposition maternelle (chimique, microbiologique et/ou physique) sur le produit de conception est de ce fait une préoccupation forte des salariées et du corps médical qui les suit. De très nombreuses études épidémiologiques ont été conduites pour mettre en évidence l'impact des nuisances du travail sur le déroulement et l'issue de la grossesse. Concernant le risque chimique, les expositions identifiées comme réellement à risque chez la femme enceinte sont les solvants organiques, certains métaux lourds, les antimitotiques, les anesthésiques gazeux et quelques pesticides, maintenant interdits. Une synthèse des études disponibles sur ces substances est présentée. Pour ce qui est du risque biologique, plusieurs micro-organismes peuvent interférer avec le déroulement de la grossesse, qu'ils entraînent des malformations de l'enfant (virus de la rubéole, toxoplasme, cytomégalovirus, etc), une issue défavorable de la grossesse (Listeria , Coxiella, etc) ou les deux. Les principales professions concernées sont les professions de santé, de l'enfance ou en contact avec des animaux. Dans le domaine des risques physiques, les rayonnements ionisants sont identifiés depuis longtemps comme responsables d'embryopathie ; les mesures de limitation et d'optimisation de la dose protègent la femme enceinte. Pour les rayonnements non ionisants, les données actuellement disponibles sont rassurantes mais les recherches doivent être poursuivies. Enfin, concernant les nuisances liées aux ambiances, à la charge ou à l'organisation du travail, c'est surtout leur cumul qui peut augmenter le risque de prématurité et éventuellement d'hypotrophie fœtale. Les salariées doivent être incitées à déclarer précocement leur grossesse, ou mieux leur projet de grossesse, au médecin du travail. Une caractérisation du risque fondée sur l'identification des dangers et l'évaluation quantifiée, métrologique et/ou biométrologique, de l'exposition est le plus souvent réalisable. Le praticien peut se faire aider par des organismes ressources, disposant des moyens documentaires et du savoir-faire nécessaires ; le médecin du travail juge alors de l'opportunité d'un maintien au poste, d'un aménagement ou d'une éviction. Un suivi systématique de l'issue des grossesses exposées en milieu de travail devrait être mis en place.

 

GAMBINI D.J. ; GRANIER R. Manuel pratique de radioprotection. 3e édition. Technique et documentation Lavoisier (11 rue Lavoisier, 75384 Paris Cedex 08), 2007, 666 p., ill., bibliogr.

Ce manuel pratique de radioprotection présente les bases scientifiques, les dispositions législatives et réglementaires et les moyens techniques de mise en œuvre de la radioprotection dans les secteurs médical et industriel, la recherche et les installations nucléaires de base. Il rassemble les informations pratiques (organisation, analyse de poste, prévention, évaluation et gestion des risques, contrôles, formation et information, etc.) habituellement éparses et les connaissances théoriques permettant à toute personne utilisant les rayonnements ionisants d'analyser les postes de travail en zone contrôlée et surveillée, de veiller au respect de la réglementation en vigueur, de participer à la formation et à l'information des personnels exposés et d'intervenir en situation accidentelle. Cette troisième édition est largement actualisée et enrichie des données scientifiques et juridiques les plus récentes concernant, notamment, les expositions humaines, la dosimétrie, l'optimisation de la radioprotection et les enquêtes épidémiologiques. Au sommaire : la physique des rayonnements ionisants ; les rayonnements ionisants, origine et interaction avec la matière ; la dosimétrie et la protection contre les rayonnements ionisants ; la détection et la mesure des rayonnements ionisants ; la radiobiologie ; les dispositions juridiques concernant la radioprotection ; l'exposition humaine d'origine naturelle ; les expositions humaines d'origine artificielle ; la radiologie médicale, dentaire et vétérinaire ; la radiothérapie ; l'utilisation des sources non scellées en médecine et recherche ; l'industrie électronucléaire ; les activités industrielles non nucléaires et aéronautiques exposant aux rayonnements ionisants ; les expositions accidentelles.

 

LE GUEN B. ; MASSE R.  Effets des faibles doses des rayonnements ionisants.  Encyclopédie médico-chirurgicale. Toxicologie, pathologie professionnelle 16-510-A-10.  Elsevier Masson (62 rue Camille Desmoulins, 92130 Issy-les-Moulineaux), 2007, 13 p., ill., bibliogr.

Les rayonnements ionisants font partie de l'environnement. Leur cancérogénicité, décrite dès le début du XXe siècle, a été depuis largement documentée. En revanche, les effets héréditaires de l'irradiation n'ont jamais été mis en évidence chez l'homme. Les textes réglementaires sur les expositions aux rayonnements ionisants à faibles doses et débits de dose font l'hypothèse implicite de la persistance d'un risque résiduel pour l'homme quel que soit le niveau d'exposition. Ces réglementations se basent sur les études épidémiologiques des survivants de Hiroshima et de Nagasaki. Les résultats de ces études sont compatibles avec une relation linéaire entre l'exposition aux radiations et l'excès de tumeurs solides à partir d'une exposition correspondant à environ 200 mSv. Les études épidémiologiques rétrospectives en milieu professionnel permettent d'estimer directement le risque de cancer chez des travailleurs exposés à de faibles doses de rayonnement. Actuellement, bien que commode pour la gestion des risques, l'hypothèse de linéarité de la relation dose-effet n'est pas vérifiée pour tous les modèles. En particulier, dans le domaine des faibles débits de doses, cette hypothèse est très controversée à la lumière des observations récentes. Le rayonnement ionisant peut altérer n'importe quelle molécule de la cellule, mais l'ADN est la cible biologique la plus critique à cause de la redondance limitée de l'information génétique qu'il contient. En cas d'altération de l'ADN, certains défauts de la signalisation cellulaire, de la réparation et du contrôle du cycle augmentent la probabilité d'apparition de mutations et de cancer. Les phénomènes mis en évidence depuis une décennie de variation de la radiosensibilité à faible dose et à dose élevée ne peuvent s'expliquer que par des différences d'efficacité des systèmes de réparation ou de défense en fonction de la dose. Les données récentes de la radiobiologie indiquent que les mécanismes de défense de l'organisme à faible et forte dose sont très différents. On sait aujourd'hui que lors d'une irradiation, si les phénomènes physiques initiaux sont effectivement proportionnels à la dose, la nature et l'efficacité des mécanismes de défense qu'ils déclenchent varient selon la dose et le débit de dose. Toutes ces données remettent en cause la validité de l'extrapolation des effets des fortes doses aux faibles doses. Après un rappel historique, cette monographie traite de la protection contre les rayonnements ionisants, des effets des expositions à forte dose et à faible dose, des études épidémiologiques sur les expositions aux faibles doses de rayonnements ionisants (premières études, leucémies autour des sites nucléaires, étude sur les travailleurs du nucléaire, utilisation de la relation linéaire sans seuil pour prédire des morts par cancer), de la nature des effets biologiques (effets sur l'ADN, sur les gènes, sur les chromosomes, sur la survie des cellules, sur les tissus), du risque cancérogène des rayonnements ionisants (cancer de la thyroïde, cancérogenèse et radon, mécanismes de cancérogenèse, données animales), des effets héréditaires (données disponibles, estimation du risque), des autres pathologies, et des aspects juridiques.

 

Dosimétrie de l'exposition au rayonnement cosmique dans l'aviation civile. Partie 1 : fondement théorique des mesurages.  Norme française homologuée NF ISO 20785-1. Juillet 2006. Indice de classement M 62-270-1.  Association française de normalisation (AFNOR, 11 rue Francis de Pressensé, 93571 La Plaine Saint-Denis Cedex), 2006, 35 p., ill., bibliogr.

La norme NF ISO 20785-1 donne les principes de base permettant de déterminer l'équivalent de dose ambiant pour l'évaluation de l'exposition au rayonnement cosmique à bord d'un avion civil, ainsi que pour l'étalonnage des instruments utilisés à cette fin.

 

Radioprotection. Surveillance professionnelle des travailleurs exposés à un risque de contamination interne par des matériaux radioactifs.  Norme française homologuée NF ISO 20553. Juillet 2006. Indice de classement M 60-600.  Association française de normalisation (AFNOR, 11 rue Francis de Pressensé, 93571 La Plaine Saint-Denis Cedex), 2006, 29 p., ill., bibliogr.

Cette norme décrit les exigences minimales permettant d'établir des programmes de surveillance professionnelle des travailleurs exposés à un risque de contamination interne par des produits radioactifs, et établit des principes pour le développement de finalités et d'exigences compatibles avec les programmes de surveillance. Elle traite des objectifs de la surveillance et des programmes de surveillance, de la description des différents catégories des programmes de surveillance, des critères quantitatifs pour la conduite des programmes de surveillance, des méthodes valables pour la surveillance et de leurs critères de sélection, des informations à collecter pour l'élaboration d'un programme de surveillance, des exigences générales pour les programmes de surveillance (limite de détection, incertitudes tolérées), des fréquences des mesurages, des cas spéciaux, de l'assurance qualité et de la documentation, la transmission et l'archivage des résultats.

 

RANNOU A.  Adéquation de la dosimétrie au poste de travail : cas de la dosimétrie individuelle externe. Radioprotection, vol. 41, n° 1, janvier-mars 2006, pp. 51-63.

Les moyens d'assurer une surveillance dosimétrique des travailleurs exposés à des rayonnements ionisants ont bénéficié de progrès technologiques. La surveillance dosimétrique répond à des exigences à la fois techniques, réglementaires et organisationnelles. Elle doit être adaptée au poste de travail. En effet, le choix des techniques à employer repose sur l'étude du poste de travail dont les résultats conditionnent à la fois le classement des travailleurs et le zonage des locaux. Tous ces progrès et nouveautés ont conduit à de nouvelles règles et contraintes pour la surveillance individuelle des travailleurs. Le but de cet article est de rappeler quels sont les nouvelles règles et objectifs auxquels obéit la dosimétrie individuelle, et d'analyser l'ensemble des éléments dont on doit se préoccuper pour adapter la dosimétrie au poste de travail. Seule la dosimétrie externe est considérée.

 

ARTIGNAN S. ; CONSO F. Radiodermites en radiologie interventionnelle. Archives des maladies professionnelles, vol. 63, n° 5, septembre 2002, p. 388.

L'utilisation de plus en plus fréquente des techniques de radiologie interventionnelle et la difficulté de la prévention locale font craindre la résurgence des radiodermites chroniques chez les médecins. Le réseau national des centres de consultations de pathologie professionnelle a été questionné sur les cas d'affections cutanées radioinduites observées chez les médecins. Cinq signalements ont été recensés, trois survenant chez des praticiens utilisant les techniques interventionnelles.